Lorsque j’ai reçu « Si j’osais » de Serena Bardano, j’étais ravie de découvrir une nouvelle autrice même si entre vous et moi, je la connais grâce à nos échanges et à nos blogs. Derrière cette autrice se cache une jeune femme dynamique, au grand coeur, passionnée par l’écriture. Notre amour de la lecture et des mots nous ont permis de nous découvrir. A ce titre, je suis très heureuse de vous parler de son premier ouvrage (et certainement pas le dernier!) : Et si j’osais Serena Bardano. Découvrez une interview mais pas que 🙂
L’interview Et si j’osais Serena Bardano
Coucou, peux-tu nous parler de toi ? Comment as-tu commencé à écrire ? A quelle période de ta vie ?
Coucou, j’écris depuis toujours, ou presque ! En primaire, j’écrivais de la poésie et depuis le collège j’écris des fictions. J’ai commencé par écrire des nouvelles et par les faire lire à des copines. Puis, en grandissant, j’ai eu l’envie de me laisser porter davantage et d’écrire, pourquoi pas, un « vrai » livre, un roman ou un livre de développement personnel. Je trouve que l’écriture est un bon moyen d’expression, pour extérioriser ses émotions ou encore pour laisser place à l’imagination et à la créativité.
Parle-nous de ton blog ?
Mon blog c’est Serenamente.fr et « Serenamente » signifie sereinement en italien car c’est ce que m’apporte mon blog au quotidien : une petite bulle de douceur, un espace d’expression à moi où je peux partager avec d’autres ce qui m’anime. Il peut s’agir de beauté, de voyages, de lectures, de cuisine, de sujets de société, etc.
Peux-tu nous parler de ton livre « Et si j’osais » ? De quoi parle-t-il et qu’est-ce qu’il a inspiré ?
C’est un livre qui parle forcément un peu de moi, mais pas que, il est également basé sur mes réflexions personnelles. Être en relation avec autrui permet forcément de réfléchir sur la vie en général, sur son rapport aux autres et parfois de tirer des enseignements de certaines expériences de vie. C’est donc un livre qui met aussi en évidence des remarques que j’ai pu tirer de mon vécu ou du vécu de personnes dont j’ai pu croiser la route.
C’est un roman qui aborde les problématiques des étudiants, le métier d’enseignant, tout comme les relations sentimentales et amicales, la perte d’un être cher ou encore la maladie, entre autres.
Comment as-tu choisi le titre ? Comment as-tu écrit cet ouvrage ?
Finalement, j’avais trouvé une maison d’édition, mais pour moi, le plus difficile restait l’acte de publication en lui-même, il fallait oser, d’où le titre. J’ai écrit ce roman quand j’avais la vingtaine. Il relate pas mal mon quotidien d’étudiante de l’époque et mes préoccupations ou questionnements du moment. Je l’ai écrit plutôt rapidement. Quand l’inspiration vient, en général, je n’ai plus qu’à laisser courir les doigts sur mon clavier.
Comment est-ce que l’on trouve sa maison d’édition coup de cœur ?
On cherche ! C’est une tâche qui peut être longue et fastidieuse, un vrai travail de fourmi mais c’est important. On se renseigne sur les mœurs et les pratiques de la maison d’édition et on tente de voir si elle peut nous convenir.
As-tu des auteurs ou autrices que tu aimes ?
Oui bien sûr ! Beaucoup ! A commencer par Amélie Nothomb dont je lis absolument tous les romans, en passant par David Foenkinos, Delphine de Vigan, Philippe Labro, Maupassant, Hugo ou Boris Cyrulnik, Béatrice Millêtre, Monique de Kermadec, Alice Miller, Jeanne Siaud- Facchin ou Gabriel Wahl pour le côté développement personnel ou psychologie. Je lis beaucoup !
As-tu d’autres projets d’écriture ?
Oui, je fais relire un manuscrit actuellement par différentes personnes, avant de le modifier et éventuellement de lui chercher une maison d’édition =)
Quel conseil donnerais-tu aux écrivains en herbe qui aspirent à publier leur premier livre ?
De ne pas se décourager, de persévérer car l’édition n’est pas un milieu facile ! Et de se faire relire parce qu’à force, on a dû mal à prendre du recul sur ses propres écrits. Un angle de vue extérieur est toujours bon à prendre et permet souvent d’améliorer son travail. Et bien sûr, de ne pas se faire relire uniquement par ses proches, car l’avis d’une personne qui n’a pas d’affect particulier pour nous, pourrait être très constructif =) Et de se dire aussi qu’on ne peut pas plaire à tout le monde. Ce que vous écrivez trouvera son public et vos écrits n’auront jamais vocation à plaire à tous. C’est normal =)
Et si j’osais Serena Bardano, mon avis
On retrouve de vraies préoccupations de jeune femme étudiante et des questions existentielles. Au fil de l’écrit, Serena nous embarque avec elle dans ses péripéties, ses vérités et ses interrogations. Le tempo est plaisant, le livre se lit aisément, rapidement et nous aide à nous projeter dans notre propre quotidien. Léger et distrayant, je vous conseille Et si j’osais Serena Bardano pour un bon moment de douceur et de distraction. La couverture délicate représente parfaitement le contenu.
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Connaissez-vous cet ouvrage ? Suivez-vous le blog Serenamente ?
Coucou Cécile,
Quel plaisir de lire l’interview d’Elodie !
J’ai également pris beaucoup de plaisir à lire son livre !
Bises et bonne journée
Un livre intéressant et pertinent :))
Bises
Coucou,
Oh je ne savais pas quelle avait sorti un livre ! Félicitations !
J’aimerais tellement le faire, mais je ne sais pas pourquoi, j’ai l’impression que c’est inaccessible, puis ce syndrome de l’imposteur que j’ai un peu pour tout d’ailleurs !
Belle journée,
Laura – Happy Lobster
Tu peux le faire : j’en ai bien édité deux ! La maison d’édition avec laquelle je bosse est très ouverte comme celle d’Elodie.
J’en suis sûre 🙂
Bises
Ça donne envie de lire ce livre et, bien sûr, de découvrir ce blog, que je vais parcourir illico!
Bisous, bonne journée
Top, merci pour elle 🙂
Coucou. Je savais qu’Elodie avait sorti son premier livre mais je ne l’ai pas encore lu. Je suis vraiment contente pour elle que ça ait pu se concrétiser 😀 Bises
C’est génial quand nos rêves et nos souhaits se réalisent.
Bises
Bonjour,
J’ai publié un livre le 31 octobre et je trouve que sur cette question, « Quel conseil donnerais-tu aux écrivains en herbe qui aspirent à publier leur premier livre ? », la réponse d’Élodie est juste parfaite ! 🙂
Et selon les besoins que l’on peut avoir en plus à côté, il faut aussi s’entourer des bonnes personnes pour travailler, que ce soit pour la correction ou les illustrations. Dans mon cas, j’ai eu une illustratrice pour la couverture, mais aussi un deuxième illustrateur pour les cartes ! En tout, quatre personnes ont travaillé avec moi sur le projet. ^^
Parfait, c’est indispensable de bosser main dans la main. Je sais de quoi je parle ^^
Coucou !! C’est tellement cool de réaliser ce genre de projet !!! félicitations à elle !
Carrément, je sais de quoi je parle ^^
Bises
Il donne très envie de le découvrir ! Merci pour cet article 🙂
Bises
Un chouette moment 🙂
Bises